D'abord je dois signaler à mes fidèles lecteurs un mystère informatique (un de plus): en corrigeant mes deux derniers messages - j'avais repéré fautes et oublis - ils se sont inversés à la publication!!!
La série des musées américains est terminée, mais pas ce blog. Car bien sûr je continue à tenter d'étancher cette soif dont je parle dans le titre.
Et j'ai déjà plein de projets d'expos pour cet hiver, à Paris, à Londres, à Bonn, plus loin peut-être... partout où le vent me poussera.
Illustrations: moi devant le mur d'Hadrien, un beau montage dans la cour du British Museum, à Londres, où se tient une intelligente expo sur l'empereur gay, infatigable bâtisseur; les intimes savent que je possède un morceau de colonne de la villa de Tivoli (chut...).
J'en ai profité pour revoir ce musée incroyable, la collection Wallace, et je vous soumets un de ces merveilleux Rembrandt qui ont le pouvoir de m'émouvoir dans ce que j'ai de plus profond: un portrait de son fils. Le Wallace Collection, c'est comme une fondation privée américaine: des objets partout, des tableaux sur tous les murs, et pas assez d'yeux pour tout voir.